Ce journal, qui s’appelle “La Bougie du Sapeur” (un sapeur est traditionnellement un militaire qui désamorce les mines) ne paraît que les années bissextiles. Mais comment un périodique qui ne sort que le vingt-neuf février peut-il être financièrement rentable? Peut-être que ce qu’on dit est vrai: “Point trop n’en faut.”
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